La présence d’un métal comme le fer influe sur les propriétés chimiques des ERO et des ERN
Il existe des systèmes enzymatiques qui produisent et dégradent certaines ERO et ERN
On pense que les ERO/ERN contrôlées par des systèmes enzymatiques participent à la signalisation cellulaire
Les ERO/ERN participent au contrôle d’activités comme le métabolisme, la prolifération, la migration, la
différenciation et la dynamique du cytosquelette
Certaines modifications des macromolécules apportées par les ERO/ERN, par exemple les résidus de cystéine (créant
des liaisons disulfures et altérant la structure des protéines), sont réversibles; on pense qu’elles jouent un
rôle important relativement à la signalisation cellulaire
Un excès d’ERO/ERN entraîne une réaction avec les lipides, les protéines et les acides nucléiques, provoquant des
altérations structurelles et fonctionnelles
On pense que les modifications irréversibles contribuent aux lésions cellulaires
Les ERO et ERN ont été impliquées dans les maladies cardiovasculaires :
Hypertension
ICC
Athérosclérose
Fibrillation auriculaire
Complications cardiovasculaires du diabète
La mesure des ERO/ERN et la détermination des processus auxquels elles participent et des contextes dans lesquels
elles le font se heurtent à certains obstacles :
Courte demi-vie (aussi peu que des nanosecondes)
Faibles concentrations
Emplacements subcellulaires
Insuffisance (à ce jour) de tests spécifiques, sensibles, robustes et reproductibles
De multiples tests ont été mis au point et de plus en plus de renseignements sur les ERO/ERN et leur biologie cellulaire,
leur pertinence par rapport aux critères cliniques et les interventions pour optimiser les résultats sont attendus au cours
des prochaines années